Ce mardi 9 avril 2019, je participais à une nouvelle réunion du groupe de travail sur l’aquaculture (ostréiculture, mytiliculture, saliculture…) initié et présidé par Stéphane Travert, député et ancien ministre de l’Agriculture.
Cette réunion avait pour but d’auditionner Philippe Le Gal, Président du Comité national de la conchyliculture, le CNC.
A l’occasion de cette réunion nous avons souhaité collectivement rappeler, outre l’importance de la filière en elle-même, quatre sujets d’actualités et à forts enjeux :
- L’accès à l’espace littoral de plus en plus contesté et difficile (recours de riverains, …)
- L’étiquetage des huîtres (question avait été débattue lors du débat sur les EGA)
- La qualité sanitaire des eaux (une préoccupation constante de la profession)
- Le Brexit (et notamment le transport vers l’Irlande où les huitres vont croître).
La conchyliculture est un sujet économique majeur pour le pays (la France fait partie des 5 premiers pays producteurs d’huîtres au monde) et pour notre territoire.
C’est 1,6 milliards d’€ de CA annuel pour toute la filière, 4 500 exploitations réparties en 47 722 concessions, 20 000 emplois directs et 250 000 tonnes de productions annuelle.