Sauver des PME en grande difficulté
Depuis le début de la crise liée à la pandémie de COVID-19, les entreprises de transports de passagers ont vu leur chiffre d’affaires chuter de 25 à 100%. Certaines se retrouvent déjà en redressement judiciaire et risquent de disparaître. Du fait de leur multi-activités, ces entreprises n’ont (dans un premier temps) pas été retenues parmi celles pouvant bénéficier des aides annoncées dans le plan d’aide au tourisme.
Leurs activités de tourisme sont pourtant intégralement touchées depuis le début de cette crise, et leurs charges sont particulièrement élevées (personnel, investissement et entretien de leur flotte de véhicules de Grand Tourisme).
Bonne nouvelle pour la dynamique économique locale
Suite à l’annonce du Plan tourisme (18 milliards d’€), j’ai écrit au Premier ministre pour que les entreprises le transport routier de voyageurs intègrent le dispositif.
Voir mon courrier au Premier ministre
C’est là le rôle du député de faire remonter les préoccupations des entreprises et acteurs du terrain et défendre les emplois et les PME, surtout quand elles sont composées d’entreprises à capitaux familiaux et qui créent de l’emploi non délocalisables, comme c’est le cas s’agissant des transports Cars Bihan ou du réseau Océlorn.
Le gouvernement n’a pas tardé à réagir pour intégrer au Plan tourisme ces entreprises de transport de passager régulier et scolaire, occasionnel et touristique ; ce qui est une bonne nouvelle pour la dynamique économique locale.