En ce début d’année, je souhaite à chacune et à chacun tous mes vœux de bonheur et de réussite pour 2018.
L’année parlementaire a été dense en 2017. Les réformes se succèdent et déjà les premiers résultats sont là : le déficit national diminue et la France va sortir pour la première fois du mécanisme européen de surveillance pour déficit excessif. Cela n’était pas arrivé depuis 2008 et je m’en réjouis.
En 2018, le Gouvernement garde la même exigence de résultat. Des textes importants vont venir en débat à l’Assemblée dans les semaines à venir : réforme de l’assurance chômage, de la formation professionnelle, de l’apprentissage, de la politique du logement, de l’immigration…
Cette exigence de résultat et cette volonté d’agir vite redonnent du crédit à la parole publique.
Pour ma part, je remercie tous des acteurs du territoire que j’ai pu rencontrer et consulter depuis juin dernier, durant ces premiers mois de la législature. Porteurs de projets, acteurs économiques, agriculteurs ou marins-pêcheurs, représentants des services de l’État, élus, responsables associatifs, consulaires ou « simples » citoyens préoccupés.
Ces échanges, souvent simples et directs, sont essentiels et j’y ai toujours été très attaché depuis que je suis élu.
Je retiens surtout de ce dialogue avec vous tous que le dépassement des clivages est plébiscité ; et que tous appellent de leurs vœux d’abord la réussite de notre Pays. Je mesure aussi l’attente forte de transformation de notre Pays. « Il faut décider et aller vite ! »… C’est ce que vous me dites le plus souvent.
A l’Assemblée Nationale, l’activité est donc soutenue. Les Commissions n’étant pas « étanches » entre elles, au-delà des sujets « Défense » (civiles ou militaires), je concentre mes travaux sur les grands dossiers suivants :
La mer et le littoral, les énergies marines renouvelables, la pêche et le Brexit ;
L’agriculture, à travers tous ses modèles, ses filières ;
La vie des collectivités locales (financement, urbanisme, compétences…).
Avec comme fil rouge, toujours et encore, la consolidation et le développement de l’emploi sous toutes ses formes : du soutien à un grand groupe comme Arkéa (dont je suis l’évolution de près), jusqu’à la vie de la TPE rencontrant des difficultés à embaucher.
J’ai la conviction que le député doit d’abord écouter pour ensuite être un facilitateur, une bonne courroie de transmission. Il doit aussi se nourrir du terrain pour bien et mieux légiférer.
C’est la raison pour laquelle je reste à votre disposition.
A bientôt.
Bloavez mad !