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Budget 2021 : la relance au service des Français

Relance forte pour la France de demain

Le ministre de l’Economie, des finances et de la relance et le ministre délégué chargé des comptes publics ont présenté ce lundi 28 septembre en Conseil des ministres le projet de loi de finances pour l’année 2021.

La reprise de l’épidémie confirme qu’il est plus que jamais nécessaire de mettre en œuvre une relance forte pour aider nos salariés, nos entreprises et investir dans la France de demain.

 

L’Etat n’abandonnera pas les salariés et entreprises les plus touchés par la crise

Le Gouvernement a pleinement conscience des efforts que chacun a consenti depuis de longs mois : il ne les abandonnera pas. A travers ce projet de loi des finances, les salariés et entreprises touchés par la crise sanitaire et économique continuent à être soutenus.

Restaurateurs, hôteliers, directeurs de salles de sport…tous pourront compter sur le soutien sans faille de l’Etat en cette période difficile :

  • les prêts garantis par l’Etat seront étendus jusqu’à cinq ans supplémentaires ;
  • le Gouvernement assurera à tous des taux particulièrement attractifs ;
  • le fonds de solidarité sera renforcé avec 150 millions d’euros en plus.

 

Un budget exceptionnel pour construire une France plus verte et plus compétitive

 

Un budget vert pour accélérer la transition écologique

France Relance prévoit 30 milliards d’investissement pour la transition écologique. C’est un effort inédit, qui permettra de décarbonner notre industrie, pour rénover nos bâtiments, pour transformer notre agriculture pour qu’elle devienne plus écologique…

Mais la transition écologique ne se décrète pas, il faut pouvoir la mesurer et la suivre. Dans une démarche inédite de transparence, le PLF 2021 s’accompagne d’indicateurs pour mesurer l’impact environnemental de chaque mesure économique et fiscale. Grâce à cet engagement, la France devient le premier pays au monde à disposer d’un budget vert.

 

Un engagement : pas de hausse d’impôts

Depuis le début de l’épidémie, les Français ont fait des efforts exceptionnels.

Avant l’épidémie, l’envie d’investir en France a été réinstaurée.
La crise ne doit pas être un prétexte pour briser cette dynamique.

Augmenter les impôts serait contre-productif. Ce serait un handicap pour le pouvoir d’achat, un poids supplémentaire pour nos entreprises, une rupture de confiance pour les Français.

Le Gouvernement maintient donc le cap. Entre 2018 et 2021, les impôts sur les entreprises et les ménages auront baissé de 45 milliards d’euros : il s’agit de la plus forte baisse d’impôts depuis 20 ans.

Ce budget s’inscrit dans ce mouvement inédit avec une nouvelle baisse : 10 milliards d’euros en moins pour les impôts de production, dès l’année prochaine.

 

Engagement puissant pour le régalien

La réussite collective dépendra toutefois de notre sérieux budgétaire. C’est pourquoi l’emploi public restera stable et la modernisation de l’action publique se poursuivra en 2021.

Au-delà de la relance, ce budget permet de poursuivre les grandes orientations fixées par le Gouvernement depuis le début du mandat, à savoir l’engagement puissant de la France pour le régalien :

  • Nouvelle augmentation du budget de la sécurité ;
  • Hausse de 4,5% du budget de la défense ;
  • Augmentation exceptionnelle de 8% du budget de la justice, afin de lui donner, enfin, les moyens d’une action rapide.

 

Des réponses fortes et des résultats rapides

Grâce aux moyens exceptionnels déployés dans le cadre du budget pour 2021 et après une chute historique de 10% du PIB attendue cette année, le Gouvernement prévoit un rebond de 8% l’année prochaine.

Sur les 100 milliards d’euros dédiés à France relance, 42 milliards devront être dépensés d’ici la fin de l’année prochaine.

 

L’emploi, toujours l’EMPLOI !

La priorité actuelle du budget 2021 est de permettre aux entreprises d’embaucher et d’investir, de se réinstaller en France et d’accompagner l’emploi dans tous les territoires autour de la transition écologique (par la rénovation thermique des bâtiments, par exemple).

 

La contrepartie de la relance, c’est la création d’emploi et d’activité

Une prime de 4 000 euros pour l’emploi d’un jeune, ce n’est pas un don, c’est une incitation à employer plus.
Une prime de 8 000 euros pour l’emploi d’un apprenti, c’est la contrepartie de l’embauche de ce-même apprenti.
Aujourd’hui, les premiers résultats sont là : en août, on constate une hausse de 9% de l’emploi de jeunes par rapport à août 2019 et le nombre de contrats d’apprentissages signés en 2020 devrait être similaire au nombre de contrats conclus en 2019.

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